Le chat qui voulait voyager

Un jour de pluie à Shanghai, j’atterris dans un café de la Concession Française. L’un des chats de la maison se laisse brosser fermement toutes pattes en l’air : c’est un endroit sérieux, pas question que les canapés soient plein de poils. A peine suis-je assise, qu’un autre se met à se frotter passionnément contre mon sac-à-dos. Et dans toutes les positions : par dessus, par dessous, la tête dedans, avec ou sans sangles… avant de s’installer dessus pour faire la sieste. En voilà un qui a le mal des voyages, on dirait…

Pour les frustrés de présence féline, il existe des endroits bien plus pros, calqués sur le modèle japonais.

Café I lost corner, 4 Shaoxin lu